Communiqué de presse

Trump savait qu'il demandait à Mike Pence d'enfreindre la loi

Donald Trump et ses avocats savaient qu’ils demandaient au vice-président de l’époque de violer la loi et son serment en rejetant les votes électoraux le 6 janvier. Les témoignages entendus aujourd’hui devant la commission du 6 janvier par des responsables et des avocats de l’administration Trump l’ont clairement démontré. L’ancien président Trump et son avocat John Eastman ont montré leur mépris pour l’État de droit et qu’ils étaient prêts à faire presque n’importe quoi pour éviter le transfert pacifique du pouvoir après avoir perdu l’élection présidentielle de 2020. C’est précisément la raison pour laquelle Eastman a demandé une grâce présidentielle avant que Donald Trump ne quitte finalement ses fonctions.  

Donald Trump et ses avocats savaient qu'ils demandaient au vice-président de l'époque de violer la loi et son serment en rejetant les votes électoraux du 6 janvier.ème. Témoignage aujourd'hui devant le tribunal du 6 janvierème Une commission composée de responsables et d’avocats de l’administration Trump l’a clairement indiqué. L’ancien président Trump et son avocat John Eastman ont montré leur mépris pour l’État de droit et qu’ils étaient prêts à faire presque n’importe quoi pour éviter un transfert pacifique du pouvoir après avoir perdu l’élection présidentielle de 2020. C’est précisément la raison pour laquelle Eastman a demandé une grâce présidentielle avant que Donald Trump ne quitte finalement ses fonctions.

La menace posée par Donald Trump n’a pas pris fin simplement parce qu’il n’est plus président des États-Unis. Elle perdure. Trump et ses partisans ont clairement fait savoir qu’ils tenteraient d’annuler l’élection présidentielle de 2024 s’ils perdaient à nouveau. Comme l’a déclaré aujourd’hui le juge J. Michael Luttig, l’ancien président Trump et ses alliés et partisans « demeurent un danger clair et présent pour la démocratie américaine ».

Mike Pence ne doit pas être glorifié pour avoir refusé d’enfreindre la loi, d’annuler une élection et de violer son serment. Mais il a fait son travail sous une pression immense exercée par l’ancien président et ses alliés. Le vice-président de la commission d’enquête, Cheney, a décrit lors de la première audition les informations effrayantes que la commission a reçues sur l’ancien président qui aurait exprimé son soutien à la mort violente du vice-président Pence le 6 janvier, affirmant qu’il « le méritait ». Ces auditions sont un rappel viscéral que des élections libres et équitables sont le fondement de notre démocratie et que nous devons travailler à renforcer leur résilience. Nous avons été incroyablement près de les perdre.

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