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7 moments clés de la neuvième audience du 6 janvier
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Le jeudi 13 octobre, la commission non partisane du 6 janvier a tenu sa neuvième audience publique. La commission a révélé des preuves inédites montrant le rôle central de Donald Trump dans l'annulation des résultats de l'élection légitime de 2020, bien avant le jour du scrutin. Elle a conclu l'audience par un vote bipartisan et unanime en faveur de l'assignation à comparaître de Donald Trump.
Voici les sept moments clés de l’audience finale du Comité :
- Donald Trump avait un plan prémédité de déclarer sa victoire aux élections de novembre 2020, même s’il perdait.
La preuve que Trump prétendrait avoir gagné quoi qu'il arrive : Tom Fitton a rédigé un projet de déclaration que Trump devait lire le jour de l'élection, déclarant sa victoire et demandant que les bulletins de vote ne soient plus comptés cette nuit-là. La déclaration a été rédigée et envoyée aux conseillers de Trump le 31 octobre, quelques jours avant l'élection.
— Kyle Griffin (@kylegriffin1) 13 octobre 2022
Le 6 janvier, une commission a présenté des éléments prouvant que Trump allait déclarer la victoire quoi qu'il arrive - note de Tom Fitton, audio de Bannon. « Si Trump perd, ça va devenir encore plus fou... Si Biden gagne, Trump va faire des trucs complètement fous », a déclaré Bannon quelques jours avant l'élection.
— Manu Raju (@mkraju) 13 octobre 2022
- Le co-conspirateur de Trump, Roger Stone, et d'autres, ont poussé Trump à revendiquer frauduleusement et violemment la victoire aux élections de 2020.
Récemment, le Comité spécial a obtenu des images de Roger Stone avant et après l’élection. pic.twitter.com/6mRdWwMSmE
— Comité du 6 janvier (@January6thCmte) 13 octobre 2022
Tom Fitton, de Judicial Watch, avait fait pression avant l'élection pour que Trump déclare sa victoire quel que soit le résultat du scrutin. Un courriel du 3 novembre montre qu'il en a parlé directement à Trump. pic.twitter.com/IIzskctM8O
— Robert Maguire (@RobertMaguire_) 13 octobre 2022
- Donald Trump a admis, en privé, avoir perdu sa réélection.
« L’ancien directeur de campagne du président Trump [Brad Pascale] nous a dit qu’il avait compris que Trump avait prévu dès juillet de dire qu’il avait gagné l’élection même s’il avait perdu » – @RepZoeLofgren dans le #Auditions du Comité du 6 janvier pic.twitter.com/tBwEWdVeZE
— Centre Brennan (@BrennanCenter) 13 octobre 2022
- Lorsque la Cour suprême a rejeté les allégations de fraude électorale de Donald Trump comme étant fausses, Trump n'a pas voulu dire la vérité au peuple américain : il avait perdu de manière équitable.
Cassidy Hutchinson affirme que Trump était « tout simplement enragé » après que la Cour suprême a rejeté son dossier.
Il a demandé : « Pourquoi n'avons-nous pas fait plus d'appels ? » et a dit à Meadows : « Je ne veux pas que les gens sachent que nous avons perdu, Mark. C'est embarrassant », selon son témoignage.
MONTRE pic.twitter.com/iiB1BDMq5w
–Adam Klasfeld (@KlasfeldReports) 13 octobre 2022
Meadows à Hutchinson après l'appel de mise au point de Raffensberger :
« Il sait que c'est fini. Il sait qu'il a perdu. Mais nous allons continuer d'essayer. »-Harry Litman (@harrylitman) 13 octobre 2022
- Deux jours avant le 6 janvier, un insurgé a déclaré que Trump demanderait à ses partisans de marcher vers le Capitole.
NOUVEAU : Textes du 4 janvier 2021 pic.twitter.com/1jqEEaqkuR
— Matt Laslo (@MattLaslo) 13 octobre 2022
- Dès décembre 2020, les services secrets savaient que les partisans de Trump prévoyaient de marcher vers Washington en étant armés et en surnombre, pour écraser la police. Trump a donc décidé de se réunir le 6 janvier et de déclencher une insurrection.
Le comité du 6 janvier révèle de nouvelles communications des services secrets datant d'avant l'attaque, notamment un indice selon lequel « les Proud Boys avaient prévu de marcher armés vers Washington DC »
Source : « Leur plan est de tuer littéralement des gens. S'il vous plaît, prenez cette information au sérieux et enquêtez davantage. » pic.twitter.com/vjXdTBQfuO
— Le décompte (@therecount) 13 octobre 2022
Le représentant Schiff a déclaré : « Les éléments de preuve montrent que Trump était conscient du risque de violence. Le FBI, la police du Capitole, la police métropolitaine et d’autres agences ont recueilli et diffusé des renseignements suggérant la possibilité de violences au Capitole avant l’émeute. » #Auditions du Comité du 6 janvier pic.twitter.com/6vHyW14PCL
— Centre Brennan (@BrennanCenter) 13 octobre 2022
Trump savait que la foule était armée.
Il savait ce qu’ils voulaient faire.
Il les a envoyés au Capitole pour une raison.
— Citoyens pour l'éthique (@CREWcrew) 13 octobre 2022
Un ancien employé de la Maison Blanche ayant des responsabilités en matière de sécurité nationale a expliqué au Comité qu'il avait été spécifiquement informé du comportement « furieux » de Trump dans le SUV présidentiel lorsque les services secrets lui ont dit qu'il était bien trop dangereux de se rendre au Capitole. pic.twitter.com/HxAm9Jlcu3
— Comité du 6 janvier (@January6thCmte) 13 octobre 2022
- La commission du 6 janvier, composée de démocrates et de républicains, a voté à l'unanimité pour assigner à comparaître Donald Trump afin qu'il fournisse des documents et témoigne sous serment pour son rôle dans l'attaque contre notre pays.
🚨 DERNIÈRE HEURE : Le @6JanvierCmte a voté pour assigner à comparaître l'ancien président Donald Trump dans le cadre de son enquête sur la #Jan6 attaque contre notre pays 🚨
— Cause commune (@CommonCause) 13 octobre 2022
Pour voir l'audience complète par vous-même, Cliquez ici.
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